Ré­noAs­sis­tance offre une nou­velle ga­ran­tie pour les ré­no­va­tions

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Pu­blié dans le Jour­nal de Mont­réal/​Jour­nal de Qué­bec, 11 juin 2020

On peut lire l’ar­ticle ici.

Les consom­ma­teurs qui se lancent dans des tra­vaux de ré­no­va­tion bé­né­fi­cie­ront d’une nou­velle ga­ran­tie s’ils uti­lisent la pla­te­forme de ré­fé­ren­ce­ment Ré­noAs­sis­tance.

Cette nou­velle ga­ran­tie est gra­tuite. Elle couvre les acomptes jus­qu’à 25% de la va­leur d’un contrat de ré­no­va­tion (pour un maxi­mum de 25 000$), jus­qu’à 25% du coût de par­achè­ve­ment des tra­vaux (li­mite de 25 000$), les ré­pa­ra­tions de mal­fa­çons ap­pa­rentes dé­non­cées à l’en­tre­pre­neur jus­qu’à 10 jours après la fin des tra­vaux (li­mite de 10 000$) et les mal­fa­çons ou dé­fauts ca­chés jus­qu’à un an après la fin du chan­tier (li­mite de 10 000$).

«On consi­dère que les pro­tec­tions gou­ver­ne­men­tales, no­tam­ment celles de la Ré­gie du bâ­ti­ment du Qué­bec [RBQ], sont in­con­tour­nables, mais pas né­ces­sai­re­ment adé­quates», ex­plique Éric Pé­ri­gny, fon­da­teur et chef de l’ex­ploi­ta­tion de Ré­noAs­sis­tance. «Par exemple, si un en­tre­pre­neur ré­colte des di­zaines de mil­liers de dol­lars de dé­pôts au­près de plu­sieurs clients et qu’il dis­pa­raît dans la na­ture sans ef­fec­tuer les contrats, la RBQ ac­cor­dera une somme peu im­por­tante à cha­cun des clients. Bien en deçà de ce qu’ils au­ront versé in­di­vi­duel­le­ment en acompte.»

«Nous sommes tel­le­ment convain­cus de notre for­mule de ré­fé­ren­ce­ment qu’on a dé­cidé de l’of­frir nous-mêmes, sans l’aide d’un as­su­reur», dit-il. L’en­tre­prise af­firme que sa nou­velle ga­ran­tie est unique au pays.

Ques­tion de confiance

Ré­noAs­sis­tance, dont Des­jar­dins est ac­tion­naire ma­jo­ri­taire, per­met de mettre un consom­ma­teur en re­la­tion avec un en­tre­pre­neur. Elle pro­pose à ses uti­li­sa­teurs jus­qu’à trois en­tre­pre­neurs qu’elle a au­pa­ra­vant qua­li­fiés.

L’en­tre­prise a mis au point une mé­tho­do­lo­gie qui uti­lise un al­go­rithme me­su­rant la confiance, basé sur 54 in­di­ca­teurs de vé­ri­fi­ca­tion. Elle dis­pose d’un ré­seau de plus de 1000 en­tre­pre­neurs, et plus de 77 000 clients (82% ré­si­den­tiels) font ap­pel à ses ser­vices an­nuel­le­ment, pour des pro­jets dont la va­leur dé­passe les 200 M$. La va­leur moyenne de ces chan­tiers est de 77 000$. Elle compte 45 em­ployés et s’est dis­tin­guée lors d’une en­quête du ma­ga­zine Pro­té­gez-Vous sur ce type de ser­vice.

M. Pé­ri­gny a fondé Ré­noAs­sis­tance il y a une dé­cen­nie après avoir été ar­na­qué pour plus de 50 000$ par des en­tre­pre­neurs en ré­no­va­tions. «Pour­tant, j’en connais­sais beau­coup sur la ré­no­va­tion, ayant fait une for­ma­tion de l’AP­CHQ, dit-il. Je me suis dit que si, moi, je m’étais fait prendre, n’im­porte qui peut être une vic­time.» L’en­tre­prise a com­mandé un son­dage au­près d’Ip­sos au prin­temps 2018, qui ré­vèle que 17% des pro­prié­taires mont­réa­lais (14% à l’échelle qué­bé­coise) ont af­firmé avoir eu des tra­vaux bâ­clés qui ont dû être re­com­men­cés.

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